Excuse-moi. Ce sont ces mots qu'elle m’a dits, je dirais un poil trop tard.Je les reçus sur mon portables et lus. Cela me fit aucun effet. Certes, cette  personne, je l'aimais, mais je suis désolé de lui dire que la souffrance ne disparaît pas d'un simple texto.
J'aurais peut-être du faire comme d'habitude, c’est-à-dire, me taire, et sourire. Et bien sûr, souffrir en silence. Mais y a un moment ou se moquer de mes sentiments sa suffits. Peut-être que sa fait rien de câliner ou toucher un autre homme que moi, pendant toutes ces soirées qu'on avait organisées. Peut-être même que je ne vais pas souffrir. Non, c'est sûr.Je ne souffre pas.Alors pendant que tu fais  cela moi je casse.Oui je me casse car j'en ai marre.


Je m'assois dans les couloirs, ou le plafond est une vitre géante. Et de à, j'attends le temps qui passe dans le froid et la peine. Je mets de la musique pour faire passer le te
mps. Contrairement a toi, la musique m'aide beaucoup. Elle m'aide un peu à réfléchir à ce qu’est ma vie sentimentale. Un vrai bordel.
Bref, je passe mon temps, donc à regarder les feuilles tombaient sur la vitre, et le soleil se levait. C'est magnifique, dommage que tu soi dans  les bras de mon m
eilleur ami, que je t'ai présentés.Le temps passe, et j'ai du mal  à supporter d'être là.Une nuit blanche dans le froid, c'est pas forcément ce que j'aime le plus.
C'étais la première, il y a eu plein d'autre. Et c'est toujours
dans ses bras que tu vas. Jamais dans les miens.

Je me demande vraiment ce que tu penses, est-ce tu as consciences du mal que tu me fait? Avant, tu faisait semblant d'ignorer les sentiments que j'avais pour toi, m
ais tu le savais très bien, c'étais pour te donner bonne conscience?après  je t'es écris ce sms qui en faisait  7, la tu pouvais pas l'ignorer.
Mais tu as continué. Et comme je t'aimais et que je ne voulais pas t'énerver, Je me la fermais. Je n'ai jamais ouvert ma bouche pour te dire ce que je pensais vraiment. J'encaissais, durement en silence.le sourire au lèvre et le coeur  en larme.


Je me suis réveillé. Tu n'étais pas là. C'est notre amie commune qui m'a aidé a aller un peu mieux.Je me suis dit combien de temps encore vais-je le supporter?Je connaissais la réponse:pas beaucoup de temps.Je savais que cette décision ne plairait pas a nos ami-e-s commun,
mais je l'ai prise, et je suis partis.Notre amie commune citée plus haut ma engeulé, via les sms.Sa ma fait mal.Elle qui aurait dû comprendre, elle m'engeulait.Elle qui est gentille, douce, attentionnée,elle m’a engeulait.Et ça ma fait vraiment, vraiment mal.Garde-là fort contre toi. Elle te soutiendra toujours.

Excuse-moi.Ton sourire me manque.Je peux t'oublier.Moi
, non plus mais ce que je ne peux pas oublier c'est la douleur que j'ai subie.Et je suis désolé, mais c'est excusé que quand je pars pour que je revienne sa le fait vraiment pas.tes excuse arrive trop tard.Beaucoup trop tard.Comme quoi l'amour détruit bien une personne. Je te souhaite bien du plaisir pour ta vie prochaine.
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Votre dévoué:Tchouda©